Auto-entrepreneur en e-commerce : Ce qu’il faut savoir

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Auto entrepreneur en e commerce

En 2009, il y a eu 64 000 plateformes e-commerces qui ont vu le jour. Les chiffres ont augmenté à 138 000 en 2013. Imaginez maintenant le nombre de boutiques en ligne et d’e-commerçants localisés sur le Net. Une grande partie de ces e-commerçants sont des auto-entrepreneurs ou micro-entrepreneurs. Cela prouve qu’il est tout à fait possible de se lancer dans un business de vente en ligne avec cette forme juridique.

Comment utiliser un statut d’auto-entrepreneur ?
Comment utiliser un statut d’auto-entrepreneur ?

Le statut d’auto-entrepreneur peut être utilisé pour diverses activités dans le secteur de l’e-commerce. Vous pouvez par exemple faire de la vente de biens qui ont été fabriqués par vous comme des bijoux ou encore de la poterie. Vous pouvez aussi faire un achat/revente avec ce statut.

De même pour les services. Il vous est également possible de proposer un site vitrine. En plus, vous pouvez ouvrir votre micro-entreprise, peu importe votre situation. Vous pouvez le créer à titre principal, accessoire, en tant que demandeur d’emploi, étudiant, retraité, salarié, etc.

Outre ces points, il vous est possible de bénéficier de l’ACCRE qui est une aide à la création ou à la reprise d’entreprise. Bref, de nombreuses possibilités s’offrent à un auto-entrepreneur en e-commerce. Vous souhaitez vous y mettre ? Découvrez tout ce qu’il faut savoir concernant l’utilisation de cette forme juridique dans le commerce en ligne.

Sommaire de l’article 🙌

Quels sont les avantages et les inconvénients d’être auto-entrepreneur dans le secteur de l’e-commerce ?

Un auto-entrepreneur en e-commerce bénéficie de nombreux avantages. Cette forme juridique permet de réduire les coûts des cotisations. Ces dernières ne représentent qu’environ 12,8 % de son chiffre d’affaires du micro-entrepreneur. Si l’e-commerçant n’a pas réalisé de chiffre d’affaires, il ne paie aucune cotisation. C’est un bon point surtout pour une entreprise qui débute.

Après, il y a les avantages fiscaux. L’auto-entrepreneur en e-commerce, contrairement aux autres formes juridiques, n’est pas assujetti à la TVA. Il peut donc proposer des prix très compétitifs vu que ses produits peuvent être vendus en hors-taxes. Les démarches pour se lancer dans la création d’une auto-entreprise sont aussi simplifiées (vous pouvez aussi découvrir notre guide sur les idées d’entreprise rentable à choisir. Il bénéficie également de la franchise en base de TVA.

Même s’il y a ces avantages, les inconvénients existent comme la limitation du chiffre d’affaires par exemple. Si vous vendez des produits, votre chiffre d’affaires ne doit pas dépasser les 176 200 euros. Si vous vendez des services, le CA ne doit pas dépasser le seuil de 72 600 euros. Ces plafonds signifient qu’il faut réduire les activités, mais aussi les gains.

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Outre le chiffre d’affaires, il y a les charges fiscales et sociales. Elles sont déduites du chiffre d’affaires et non des bénéfices effectifs. Après, il y a la question de la TVA. L’auto-entrepreneur en e-commerce n’est pas assujetti et ne peut donc pas récupérer la TVA ou encore la déduire de ses charges.

Enfin, il y a le patrimoine personnel et professionnel de l’auto-entrepreneur en e-commerce. Il n’y a pas de distinction entre les deux. Si le micro-entrepreneur est donc débiteur d’un fournisseur par exemple, ce dernier peut tirer son remboursement du patrimoine personnel de l’e-commerçant bien qu’il possède un compte bancaire professionnel.

Certes, il y a ces inconvénients, mais il faut noter que le statut d’auto-entrepreneur en e-commerce permet déjà de se lancer facilement dans un business de vente en ligne (découvrez aussi comment réussir à créer son site de vente en ligne). En plus, il est possible de changer de forme juridique si l’entreprise commence à se développer.

Vous pouvez opter pour le statut d’entreprise individuelle si vous êtes entrepreneur individuel. Vous pouvez aussi opter pour une forme juridique EIRL, EURL, SASU, etc. L’idée de devenir auto-entrepreneur en e-commerce vous a séduit ? Découvrez comment le devenir.

être auto-entrepreneur dans le e-commerce

Comment devenir auto-entrepreneur en e-commerce ?

Pour exercer une activité dans le cadre de l’auto-entrepreneuriat en e-commerce, découvrez les points essentiels que vous devez connaître. Sachez tout d’abord que pour des activités commerciales ou encore pour des activités de prestation de service, le statut d’auto-entrepreneur est gratuit. Il y a quand même certaines conditions et démarches à suivre avant de pouvoir vendre avec ce statut.

Les conditions pour devenir micro-entrepreneur

Si vous souhaitez opter pour le statut d’auto-entrepreneur en e-commerce, vous devez remplir quelques conditions. Il ne faut pas être sous tutelle. Toutes personnes qui ont eu une interdiction de gérer ne peuvent pas obtenir ce statut.

Après, il faut être de nationalité française ou européenne. Il faudra d’ailleurs fournir une carte de résident lors de l’inscription. Il faut bien sûr avoir une adresse postale basée en France. Un auto-entrepreneur en e-commerce doit aussi s’immatriculer au Registre du Commerce et des sociétés ainsi qu’au Répertoire des métiers.

Il faut le faire au moins 14 jours avant la date du début d’activité. Il doit également ouvrir un compte bancaire professionnel. Vu qu’il s’agit d’e-commerce et non d’activités artisanales, l’inscription aux Chambre de métiers et de l’artisanat n’est pas obligatoire.

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Un auto-entrepreneur en e-commerce a aussi l’obligation de tenir un cahier d’achats et de recettes pour sa comptabilité. Après, il y a les cotisations sociales et l’impôt. En outre, il faudra déclarer le chiffre d’affaires annuel tout en respectant le plafond exigé.

Toutes les déclarations doivent être conservées de même pour les pièces justificatives en lien avec l’activité professionnelle choisie. Il y a aussi des obligations à respecter concernant le site et les factures.

L’auto-entrepreneur en e-commerce doit indiquer les mentions légales sur son site et doit délivrer des factures comportant des mentions obligatoires. S’il s’agit de factures pour les clients rattachés au service public, il faut soumettre une copie de la facturation sur Chorus Pro.

Par ailleurs, consultez aussi notre guide concernant le E-commerce salaire. Vous pouvez découvrir sur ce guide les facteurs qui déterminent le salaire dans le e-commerce, les différents métiers du e-commerce, ainsi que le salaire estimé d’un e-commerçant indépendant.

Les démarches et les formalités pour un auto-entrepreneur en e-commerce

Comment devenir auto-entrepreneur en e-commerce ? Quelles sont les démarches et formalités à suivre ? Vous pouvez tout faire en ligne sur le site www.autoentrepreneur.ursaaf.fr. Vous pouvez même demander l’immatriculation en ligne, mais il faudra juste remplir un formulaire et envoyer une pièce d’identité scannée.

L’immatriculation peut aussi se faire sur papier et doit être envoyée au Centre de Formalités des Entreprises ou CFE. Il faudra également faire parvenir une photocopie de votre pièce d’identité et un formulaire rempli et signé.

formalités pour un auto-entrepreneuren e-commerce

Concernant le formulaire, vu qu’il s’agit de vente en ligne, et donc d’activité commerciale, vous devez remplir le « Formulaire PO CMB Micro entrepreneur ». Après l’inscription au Registre National des Entreprises ou RNE, la demande sera traitée par l’INSEE. L’auto-entrepreneur en e-commerce recevra ensuite un certificat qui contient son numéro de SIRET composé de 14 chiffres.

Le numéro SIREN est les 9 premiers chiffres du SIRET. Les 5 derniers, quant à eux, sont le code NIC. L’auto-entrepreneur recevra aussi un code APE. Ce dernier permettra d’identifier la branche d’activité concernée.

Concernant l’immatriculation, il faudra faire une demande en ligne sur infogreffe.fr. Parfois, l’immatriculation en ligne n’est pas possible. Dans ce cas, consultez la Chambre de Commerce et d’Industrie (CCI) qui se trouve dans votre région pour en savoir plus sur les démarches à suivre pour l’obtenir.

En ce qui concerne le régime fiscal de l’auto-entrepreneur en e-commerce (micro BIC ou micro BNC), il y a des choix. Il est possible de choisir entre un régime micro-social couplé à un régime micro-fiscal ou opter seulement pour un régime micro-fiscal. À noter qu’il y a aussi le versement libératoire. Pour cette option, il faut faire une demande auprès de l’Urssaf. Après le régime de l’auto-entrepreneur, il faut ouvrir une boutique en ligne (vous pouvez aussi consulter notre guide complet sur la stratégie à adopter pour ouvrir une boutique mono-produit ou un site de vente mono produit).

Comment ouvrir une boutique en ligne en tant qu’auto-entrepreneur dans le secteur de l’e-commerce ?

Pour ouvrir une boutique de vente en ligne correctement, l’auto-entrepreneur en e-commerce doit songer à créer un site internet, s’assurer que la plateforme est conforme aux réglementations, penser aux produits et à la promotion de la boutique.

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Création d’un site e-commerce

Il est possible de créer un site e-commerce sur mesure via des CMS. Il est aussi possible de créer un site clé en main via des solutions SaaS. Les CMS sont des outils comme WordPress, WooCommerce (en dropshipping), etc. Pour créer une plateforme via un CMS, il faudra avoir d’excellentes bases en informatique, en intégration, en développement, etc.

Il existe aussi des professionnels qui proposent leurs services afin d’aider les auto-entrepreneurs en e-commerce à lancer leurs boutiques en ligne facilement. Pour trouver ceux qui pourront vous assister dans votre projet, vous pouvez consulter les plateformes d’offres de services. Il y a bien sûr un coût vu qu’il faut payer ces experts en création de sites.

Outre les frais qu’engendrent la création de la plateforme, il faut penser aux autres détails comme l’hébergement par exemple. Concernant les SaaS, ce sont des fournisseurs de site. Vous pouvez donc obtenir un site fonctionnel rapidement. En contrepartie, vous devez payer un abonnement mensuel. Parmi les SaaS, il y a par exemple Shopify.

Ce qu’il faut garder en tête, c’est que le site est le support le plus important. Il faut donc penser à tous les détails pour qu’il soit attirant (thèmes, rubriques, contenus, etc.), ergonomique, et sécurisé. À noter que l’auto-entrepreneur en e-commerce peut aussi vendre sur des marketplaces comme Ebay, Amazon ou encore Darty. Il faut louer une place sur ces plateformes. Certaines demandent aussi des commissions par vente réalisée.

Créer un site e-commerce

Respect des réglementations pour le site

La partie qu’on va aborder concerne les sites e-commerces personnels et non les places de marché. Lors de la création de la boutique en ligne, l’auto-entrepreneur en e-commerce doit rédiger et intégrer des mentions légales et des CGV sur sa plateforme. Après, il y a les réglementations de la RGPD qu’il faut respecter, de même pour celles qui encadrent les cookies.

  • Mentions légales

Si vous souhaitez vous lancer dans l’auto-entrepreneuriat dans le cadre d’une vente en ligne, les mentions légales de votre site doivent contenir vos coordonnées (nom, prénom, adresse, contacts). Vous devez aussi inscrire votre numéro d’inscription au RCS, le numéro de déclaration à la CNIL et le nom du directeur de publication. Après, il faut indiquer les informations de l’hébergeur comme son nom, ses contacts, son adresse et sa raison sociale.

  • Conditions Générales de Ventes

Un auto-entrepreneur en e-commerce doit les indiquer sur son site. Les CGV doivent contenir les coordonnées du micro-entrepreneur (nom, prénom, adresse postale, contacts, etc.), le numéro d’inscription au RCS, la clause de réserve de propriété, le transfert de propriété, l’attribution de juridiction, les données personnelles et le droit de rétractation.

À cela s’ajoutent la garantie, les modalités de paiement, les conditions de livraison, la réduction du tarif, le prix en TTC et bien sûr, les caractéristiques des produits. À noter qu’il existe des exemples de mentions légales et de CGV pour site e-commerce en ligne.

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Vous pouvez les télécharger et vous en inspirer pour la rédaction des vôtres. Notez juste qu’il est interdit de plagier des mentions légales et CGV. Un manquement de ces informations sur le site conduit à une amende et parfois même à des sanctions très sévères.

  • Les réglementations de la RGPD

Vu que le site aura accès à des données personnelles comme les coordonnées des clients, il faudra respecter les réglementations concernant la collecte d’informations personnelles. Ces réglementations sont encadrées par la RGPD ou Règlement Général sur la Protection des Données.

  • Les cookies

Les cookies figurent également parmi les éléments utilisés par les sites pour recueillir des informations. Ils sont encadrés également par des réglementations sur la collecte des données. Il faudra informer les utilisateurs de leur présence, de leur finalité, etc. Pour plus d’informations concernant les cookies, consultez le site de la CNIL.

cookies d'un site web

Les produits

Votre boutique ne servira à rien si vous n’avez pas de produits à importer dessus. Lors de la création du site e-commerce donc, l’auto-entrepreneur doit connaître à l’avance les produits qu’il va vendre. Avant la mise en place de la plateforme de vente, il faut faire une étude de marché, trouver un produit de niche, un fournisseur, etc.

Il faut ensuite trouver un outil d’importation de produits, personnaliser les fiches-produits, optimiser les descriptifs et les titres, créer les rubriques pour les catégories d’articles, etc. Il faut aussi penser à la logistique. Comment allez-vous gérer les stocks s’il s’agit d’un achat/revente ? Qu’en est-il de la livraison ? Etc. Enfin, il faut choisir des moyens de paiement variés pour permettre aux clients de finaliser leurs commandes facilement (voir aussi notre guide concernant le mode de Paiement à choisir sur un site e-commerce ou boutique en ligne).

La promotion de la boutique en ligne d’un auto-entrepreneur en e-commerce

Après toutes ces étapes, il faudra promouvoir la boutique en ligne. L’auto-entrepreneur en e-commerce peut utiliser plusieurs stratégies marketing pour la promotion de son site. Il y a le référencement SEO qui permet d’obtenir du trafic. De même pour le référencement SEA qui est payant. Après, il y a le reciblage publicitaire, l’emailing, etc.

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Pour plus de résultats, il est possible d’adopter une stratégie multicanal. Au lieu de vendre seulement sur une boutique en ligne, le micro-entrepreneur peut par exemple vendre en parallèle sur une application, sur les réseaux sociaux, sur YouTube, etc. Il est même possible d’opter pour une stratégie omnicanal qui associe le digital aux magasins physiques.

Les démarches après le lancement du projet

Quand l’entreprise commence à générer des gains, vous devez calculer vos revenus annuels, déterminer les charges sociales et la CFE que vous devez payer ainsi que les impôts. Il faudra également déclarer le chiffre d’affaires. Enfin, il faut penser à suivre l’évolution du site et de votre business de commerce en ligne puis penser à fidéliser les clients.

Calcul des revenus annuels

Un auto-entrepreneur en e-commerce doit calculer ses revenus annuels suivant l’application d’un abattement forfaitaire. Le taux de cet abattement dépend de l’activité que vous avez choisie. Si vous avez opté pour un achat et revente, le taux est de 71 %.

Pour une vente de prestation de services, le taux est de 34 %. La formule pour le calcul des revenus annuels est la suivante : Chiffre d’affaires x (100 % – abattement). Prenons un exemple. Disons que vous avez choisi l’achat et la revente et que vous avez réalisé un chiffre d’affaires de 50 000 euros HT. Vos revenus annuels sont donc de 14 500 euros HT.

Calcul des revenus annuels

Les charges sociales et la cotisation foncière des entreprises ou CFE pour un auto-entrepreneur en e-commerce

Le statut juridique de micro-entrepreneur est ouvert aux professions libérales, mais aussi aux auto-entrepreneurs qui souhaitent réaliser une activité artisanale, commerciale, ou autre qu’il s’agisse d’une activité principale ou non. Dans tous les cas, il faut savoir que l’auto-entrepreneur en e-commerce doit payer des cotisations sociales suivant le régime social qu’il a choisi.

Vu qu’il paie ses cotisations, il a droit à une protection sociale. Il est affilié au régime général de la sécurité sociale. Il est donc bénéficiaire d’une couverture sociale comme les travailleurs indépendants.

Parmi les couvertures du régime social, il y a par exemple l’assurance maladie-maternité, l’assurance-chômage, l’assurance invalidité-décès, l’assurance retraite de base et retraite complète ainsi que les allocations familiales.

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Pour le statut de micro-entrepreneur ou d’auto-entrepreneur, les charges sociales dépendent du chiffre d’affaires réalisé. S’il s’agit de vente de produits ou d’articles, le taux des charges sociales est de 12,80 %. Dans le cas de la vente en ligne de prestations de services, le taux est de 22 %. Si vous n’avez réalisé aucun chiffre d’affaires, vous n’avez aucune cotisation sociale à payer.

Outre les charges sociales, chaque fin d’année, l’auto-entrepreneur en e-commerce doit payer la CFE ou Cotisation Foncière des Entreprises. À noter toutefois qu’il y aura une exonération de CFE la première année si le chiffre d’affaires ne dépasse pas les 5 000 euros.

L’impôt sur le revenu et la déclaration du chiffre d’affaires

Concernant l’impôt sur le revenu ou IR, il est possible de choisir un versement libératoire forfaitaire. L’impôt sera calculé en pourcentage suivant le chiffre d’affaires réalisé. Le taux pour l’impôt dépend également de l’activité. Concernant la déclaration du chiffre d’affaires, il faut la faire qu’il y ait ou non de CA réalisé. La déclaration doit être effectuée directement sur le site autoentrepeneur.ursaaf.fr.

impôt sur le revenu

Suivi du site de vente en ligne et fidélisation des clients

L’auto-entrepreneur doit suivre l’évolution de son entreprise, de ses marges, son CA, etc. Cela lui permet d’améliorer ses stratégies marketing. Il existe de nombreux outils en ligne pour permettre aux micro-entreprises de suivre leurs activités.

Après le suivi, il faut savoir fidéliser les clients. Le choix de la fidélisation dépend de vous et de vos moyens. Certaines plateformes e-commerces proposent par exemple des codes de réduction à leurs clients.

En somme, il y a plusieurs conditions, démarches et étapes à suivre pour pouvoir occuper le statut d’auto-entrepreneur en e-commerce. Même si le projet semble difficile, c’est la forme juridique la plus simple pour démarrer un projet de commerce en ligne.

Le plus compliqué, c’est surtout la création du site, sa mise en service, les stratégies pour obtenir des clients et pour concrétiser les ventes, ou encore pour fidéliser les clients. Bref, le plus compliqué, c’est de vendre et non d’obtenir le statut d’auto-entrepreneur.

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